Issy Les Moulineaux (France), le 20 février 2025 – De plus en plus d’études scientifiques mettent en évidence des liens entre composition et fonctionnalité du microbiote intestinal et de nombreuses pathologies telles que le cancer, les maladies cardiométaboliques et les maladies auto-immunes. L’analyse du microbiote est en passe de devenir un élément incontournable dans le diagnostic, la prévention, le suivi d’une pathologie mais également pour prédire la réponse à une thérapie.

GMT Science, medtech française innovante, exploite la métagénomique standardisée et à haute résolution des selles ainsi que l’analyse des données par l'IA pour développer de nouveaux tests diagnostiques in vitro. Ces tests permettent d’évaluer le microbiote intestinal des patients à partir d’un simple échantillon de selles : de l’identification des espèces microbiennes présentes jusqu’aux gènes et fonctions qu’elles portent. Ce profilage complet du microbiome combiné à un algorithme propriétaire basé sur l’IA garantit une analyse robuste et reproductible des données du microbiome.

Cette nouvelle approche permettra aux médecins d’utiliser efficacement les informations du microbiome dans des contextes cliniques, ouvrant ainsi la voie à la médecine personnalisée et aux thérapies ciblées.

Etienne Formstecher, fondateur et DG de GMT Science précise : « Rejoindre l’incubateur virtuel du Groupe Cerba HealthCare, leader européen du diagnostic, est une occasion unique de finaliser le développement de nos diagnostics in vitro basés sur les microbiomes dans les domaines de l’oncologie et des maladies cardiométaboliques et de les intégrer dans le quotidien des laboratoires de biologie médicale.»

Jérôme Sallette, Directeur Scientifique de Cerba HealthCare, ajoute : « Nous sommes ravis d’accueillir GMT Science au sein de notre incubateur virtuel, ce dispositif d’accompagnement des start-ups en open innovation que nous avons créé en 2017. Nous avons été convaincus par leur approche scientifique et médicale dans l’utilisation en clinique du microbiome. Ces développements prometteurs permettront une meilleure prise en charge des patients atteints de maladies chroniques (maladies auto-immunes et MICI), mais également des patients atteints de cancers dans le cadre de leur immunothérapie. »